Dans un projet littéraire réfléchi, longuement maturé et construit, un défi à sa soixantaine, JM LLORENS sort de l’anonymat littéraire. Il veut écrire pour être lu, pour extérioriser et partager avec ses lecteurs, ses convictions, ses combats. Il a choisi pour cette première oeuvre publique un thriller scientifique en 3 tomes, une saga intrigante, LDP286, dont le 1er opus s’intitule Le Syndrome de Nobel.
J’ai toujours été fasciné par les personnages «Waouh» comme on dit. Mais j’ai envie de citer 3 d’entre eux ; mon directeur de thèse qui me disait « si vous voulez être connu, il vaut mieux écrire des bouquins que des articles scientifiques ». Un chercheur de l’INRA d’Orléans qui m’avait dit, dès 2000, que l’agriculture de précision serait l’avenir. Enfin ce professeur de géologie structurale de 70 ans qui avec une feuille de papier pliée en 4 faisait un cours passionnant de 2 heures.
Mon genre littéraire préféré, c’est le roman policier, les thrillers policiers. J’aime beaucoup Sébastien Japrisot (Jean-Baptiste Rossi), mais aussi Marc Lévy, Guillaume Musso, Jean-Christophe Grangé… Ce que je recherche en tant que lecteur, c’est l’émotion, la surprise, l’impression d’être dans l’histoire. C’est ce que je retrouve dans la lecture de leurs ouvrages.
J’ai fait mienne cette citation de Jean Rostand, extraite de Pensées d’un biologiste (1954) : « Il n’est pas bon que l’écrivain joue au savant, ni le savant à l’écrivain ; mais il n’est pas interdit à l’écrivain de savoir, ni au savant d’écrire. »